Bonjour, bonjour … !!

Bonjour, bonjour … !!

Comment allez-vous depuis l’année dernière ?

Je viens vous souhaiter, encore au coin du feu, une grande et belle nouvelle année … normal, c’est la saison où on ne peut se passer d’une bonne flambée !! Que mes vœux sincères voient mes « voyageurs », mes amis et tous les miens en excellente forme durant 2013. Bien sûr, que toutes et tous jouissent d’un ample bonheur, de joies et que vous désirs se réalisent … dans la mesure du possible !!

J’espère que vous passez sur mon blog des moments intéressants et agréables et que parfois je vous apprends quelque chose … je vais m’appliquer, bien entendu, durant ces prochains mois à satisfaire votre curiosité. Je souhaite avoir la satisfaction et le plaisir de parcourir les messages de ceux qui me lisent et apprécient mon travail …

Chaleureux début de janvier et que l’enthousiasme et la passion vous guident et vous escortent tout au long de cette année.

Bien à vous …

Aude

  

         

BONNES RESOLUTIONS POUR ….. 2013

BONNES RESOLUTIONS POUR ….. 2013

Si vous avez déjà effectué un petit … bilan 2012, vous devez certainement avoir quelques idées de bonnes résolutions pour 2013 ???

Je vous en suggère juste 2 ou …. 3 ou un peu plus …. 

  - faire un monde plus propre … je devrai !!

  - être à l’heure … j’essaierai !!

  - être forte … devant un gâteau, saliver, ne pas croquer … je résisterai !!

  - le dernier mégot sous ma chaussure … j’écraserai !!

  - faire un peu de sport pour me tenir en forme  … je tenterai !!

  - de look … je changerai … enfin … j’oserai !!

    - les espèces en voie de disparition … je protègerai, heu … certaines !!

  - faire de mon (notre) année une … pluie d’étoiles … j’aimerai !!

Comme à peu près tout le monde … aussitôt pensé, aussitôt oublié !!!

Imaginez que vous ne puissiez faire qu’un SEUL vœu pour cette nouvelle année … lequel choisiriez-vous ? Et quel changement souhaiteriez-vous ?

 Peut-être pourriez-vous nous (me) conseiller vos excellentes … décisions par le moyen d’un message,  merci !!

  

MIDES –

MIDES –

Midès est une oasis de montagne ( zone de végétation isolée dans un désert à proximité d’une source d’eau ou lorsqu’il y a une nappe phréatique suffisamment proche de la surface du sol), située au Sud de la Tunisie.

Elle se trouve à proximité de la frontière tuniso-algérienne à environ 60 kms de Tozeur et 10 de Tamerza.

Située sur le lime saharien (nom donné par les historiens modernes aux systèmes de fortifications au long de certaines frontières de l’Empire Romain), reliant Tébessa à Gafsa. L’ancienne Midès était utilisée par les Romains pour signaler l’approche d’envahisseurs à l’aide de miroirs.

Le vieux village de Midès est abandonné en 1969 à la suite d’inondations particulièrement meurtrières qui font plus de 400 morts en Tunisie. Accroché en bordure de canyons formés de plusieurs couches de roches stratifiées, sculptées par l’érosion et le cours de l’Oued aux paysages désertiques, ses ruines semblent suspendues au-dessus du vide.  On y trouve des fossiles et des minéraux aux couleurs incroyables.

Le nouveau village est au cœur d’une palmeraie voisine qui fournit des dattes, des oranges, des figues.

Le canyon a une superficie d’environ … 5 000 km2 où l’on trouve gerboises, scarabées, lézards dans ce site magique à la terre rouge poussiéreuse.

Midès fait partie des 3 plus belles oasis avec Chébika et Tamerza et le meilleur moment pour une visite, c’est au coucher du soleil … sur un paysage époustouflant.

Ce site est utilisé pour certaines scènes de tournage de film  comme : « le Patient anglais » et « Fort Saganne ».

LA FETE DU PAPIER … AU Portugal

LA FETE DU PAPIER … AU Portugal

Je ne savais même pas que cette fête existait mais après avoir visionné le youtube … on en a plein les yeux. Je vous fais donc partager ce beau voyage !!!

Il s’agit de la fête des « Tabuleiros ». Il faut des milliers de différentes tailles et modèles de papier pour décorer les « tabuleiros (plateaux) qui donnent le nom à la fête très importante de Tomar et qui a lieu tous les 4 ans.

Un grand nombre de personnes est incrit et d’autres candidatures sont encore attendues. Dans presque toutes les rues du centre historique, l’enthousiasme est à son comble. La décoration est préparée surtout lors de veillées.

Joäo Vital, le majordome de cette fête ou du Divin Esprit Saint se montre optimiste par rapport à l’avenir de cette tradition. Les enfants participent de plus en plus au défilé des garçons qui a lieu le 1^er juillet. Le nombre de jeunes qui se portent volontaires, augmente. Ce rituel qui existe depuis des millénaires n’a donc pas de souci à se faire !!! Ces débuts remontent aux fêtes des cueillettes en l’honneur de la déesse Ceres (céréales).

En principe ce sont les organisateurs qui achètent le papier, les paniers. Pour

La création des Tabuleiros et même le tissu pour les costumes des filles qui les portent et qui doivent avoir la même taille que leur plateau.

La préparation débute plusieurs mois avant. Dans les 16 paroisses de la commune, on travaille avec ardeur pour que tout soit prêt en temps voulu. L’évènement a lieu entre le 30 juin et le 09 juillet. Il y a différentes attractions qui débutent le dimanche de Pâques avec le 1^er des 7 défilés de couronnes. Un rituel qui annonçait autrefois le début de la fête aux habitants de la commune.

POESIE –

POESIE –

Celle que vous allez lire cette fois-ci est de ma mère « Odette », native du Morvan. Elle a été écrite en 1982 et est parue dans le journal « le Morvandiau de Paris » en novembre de la même année.

La franc-comtoise bois et laiton, au tic tac régulier que nous avions, ressemble … étrangement à celle que vous verrez à la fin de cette poésie.

Malgré son âge, maman continue de faire paraître dans le fascicule (Histoire et Patrimoine)de son ancienne commune, des évènements marquants qui ont jalonné sa vie comme « des journées de guerre », « la moisson » etc …   

« Mon horloge franc-comtoise »

Tu es là, dans ton coin, chère et vieille horloge,

Ton bois est vermoulu mais ton cœur reste bon pourtant.

Ton rythme lent égrène les heures que le temps forge,

Ta voix scande l’âge des autrefois, inexorablement.

Redis-moi ton histoire, humble horloge d’antan,

Ma rêverie est calme, douce et rejoint le temps.

As-tu bercé jadis des êtres qui s’aimaient ?

As-tu vu s’éveiller de frêles têtes brunes ou blondes ?

Et se clore de chers yeux dans la lumière qui fuyait

Et rouler les jours heureux ou malheureux dont tu fermes

                                                                            la ronde ?

Tu sonnas hier pour d’autres que nous,

Ceux dont tu vis les pleurs ou les rires fous.

Ta voix, ce soir, parle d’espoir au fond de ma

                                                                 veillée doucement,

Je t’en supplie : dans le bonheur, retiens le

                                                                 présent au sablier du temps.

Odette (1982)

SAINT GUILLAUME – le 10 janvier (10ème jour du calendrier grégorien)

SAINT GUILLAUME – le 10 janvier (10^ème jour du calendrier grégorien)

Ce prénom me tient à cœur puisque mon « Petit Loup » le porte !!! Nous allons donc voir qui était ce saint après quelques recherches sur internet.

Il y en a plusieurs dans l’église chrétienne mais le Saint Guillaume, fête du calendrier, est Guillaume de Bourges, de naissance Guillaume de Corbeil né en 1120 et décédé le 10 janvier 1209. 

Fils de Baudoin de Corbeil et d’Eustachie de Châtillon, était un homme de caractère pieux voué à l’étude et la méditation. Il s’oriente vers les ordres. D’abord Chanoine de Soissons puis de Notre-Dame de Paris, il devient moine à l’Abbaye de Grandmont (Limousin – ordre monastique fondé en 1076 et dissous en 1772). Des dissensions étant survenues, il quitte cet ordre et devient moine à l’Abbaye cistercienne de Pontigny (fondée en 1114) où il resta longtemps avant d’en devenir le prieur (qui dirige les religieux). Il devint abbé de Fontaine-Jean, puis abbé de Chaalis (diocèse de Senlis – commune dans le département de l’Oise).

A la mort de l’archevêque de Bourges le 23 novembre 1199, Henri de Sully, il est désigné par Eudes, frère d’Henri pour lui succéder.

Considéré comme un grand prédicateur (répandre la parole divine) et ferme sur les principes à tel point qu’il s’attire … la colère de Philippe II de France dit Philippe Auguste (7^ème roi de la dynastie des capétiens)… lors de son remariage avec Agnès de Méranie.

A la demande du pape Innocent III, il combat les hérétiques en particuliers les Cathares. Alors qu’il prépare une croisade, il tombe malade … Plus tard, il mourra le 10 janvier et son corps est placé au centre de la Cathédrale encore inachevée où quelques jours plus tôt, il célébrait l’Epiphanie, puis dans la crypte, lieu où se trouve à présent la représentation du Saint Sépulcre de Jésus Christ, dans une chapelle que fait bâtir Mahaut, Comtesse de Nevers, Dame de Donzy … sa nièce. Dans une charte (titre ancien qui concédait un privilège), elle fit un don à l’église de Saint Etienne pour qu’un cierge soit brûlé sur son sépulcre, laquelle charte datée de juillet 1223 où elle qualifie son oncle … de Saint Guillaume.

Suite à une série de miracles observés « par son intercession et devant son tombeau », Innocent III élève son corps huit ans après sa mort et Honorius III promulgue une bulle de canonisation le 17 mai 1218.

Après sa canonisation, son corps est sorti et exposé sur 2 colonnes derrière le Maître Hôtel jusqu’en 1562. 

Il est le patron de l’Université de Paris, le Saint patron des armuriers. 

                 

VIEILLES LAMPES A PETROLE –

VIEILLES LAMPES A PETROLE –

Nos ancêtres se sont tout d’abord éclairés avec un feu de camp, puis … avec leur poêle qui permettait également de se chauffer. Les femmes d’ailleurs brodaient d’une façon admirable à la grille rougie ou à la faible lueur … d’une bougie. Les lampes à huile et à pétrole ont permis de donner un peu plus de clarté à la pièce principale et bien sûr est arrivée une fée … l’électricité !!!

Je vais donc vous parler des lampes à pétrole, celles que certains de ma génération ont connues et souvent même, conservées. Au fil du temps, des collections se sont faites et embellissent nos intérieurs modernes. Qui n’a pas une lampe « pigeon » ou une lampe « tempête » ? Elles ont leur place sur le coin d’une cheminée, un buffet de cuisine, une étagère de salon … elles ne dénotent pas ; au contraire, elle donne un petit air vieillot, nous parlent du passé, de nos grands parents et leur couronne crantée semble nous dire que nous pourrions peut-être avoir besoin de leur simple mèche … !!!  

Ces lampes sont apparues vers 1853. C’est un luminaire qui se compose d’un pied sur lequel se présente un réservoir principalement en verre contenant du pétrole lampant (distillat de pétrole) qui monte vers un bec grâce à une mèche d’une dizaine de cm qui trempe dans le liquide. Le tout est surmonté d’une cheminée en verre. C’est donc une lampe à flamme éclairante apportée après la lampe à huile.

Pour recharger la lampe, il faut dévisser la partie supérieure du réservoir. On sort la mèche pour remplir la moitié de celui-ci avec le pétrole. On revisse la buse et on règle la hauteur de la mèche. Après que celle-ci soit bien imbibée de liquide, on peut l’allumer. Une fois allumée, avec la mollette, on règle la hauteur de la flamme puis on rajoute le verre.

Il existe de nombreux types de lampes, au bec et au verre bien définis. Par exemple :

  - le bec Kosmos, encore en usage, accompagné d’un verre à étranglement dont la flamme s’étire en hauteur ce qui accroît l’efficacité lumineuse.   

  - le bec Matador, à disque horizontal produisant une flamme large. Le verre avec un renflement permet à la flamme de s’épanouir.

Il est très important de respecter la concordance du verre avec le modèle de bec pour obtenir un résultat optimal et ne pas subir des désagréments comme odeur et fumée. Utiliser également des mèches de qualité pour transporter le pétrole en quantité suffisante pour alimenter la flamme.

Certaines lampes peuvent atteindre + de 40 cm et 60 avec le verre. Leur pied peut être travaillé, avec colonne de pierre et bol peint. Elles sont en laiton, cuivre, verre, faïence, porcelaine, étain etc … et en parfait état de fonctionnement. D’autres ont été modifiées et portent une ampoule électrique … « sacrilège » de les avoir percer pour passer un fil !! Se contenter de les astiquer et les placer comme décoration. Il y a leurs « sœurs modernes », très jolies qui sont plus à même de nous éclairer …

                 

Chaton espiègle...

Les ROSES des SABLES –

Les ROSES des SABLES –

Ce sont des roches évaporitiques (roches sédimentaires constituées de minéraux) formées par la cristallisation lenticulaires de minéraux solubles et dont l’apparence est naturellement architecturée rappelle … les pétales d’une rose.

La formation de ces roses des sables provient de l’évaporation d’eau filtrée. Ces cristallisations sont très souvent rencontrées dans les terrains tendres tels que les sables, l’argile et principalement dans les … déserts.

L’eau dans le désert est riche en sulfate de calcium. Elle va imbiber le sable. A cause de la chaleur, du vent, l’évaporation est intense en surface ce qui va contribuer à entretenir l’ascension de l’eau vers la surface. Entre la nappe et la surface, il y a donc un niveau où la saturation est atteinte. Le gypse commence à cristalliser. Les cristaux d’abord de petites tailles vont grandir au fur et à mesure en englobant un peu du sable dans lequel ils croissent. Ils vont s’enchevêtrer, s’associer et former une rose des sables. A l’aide d’une loupe, on peut voir les étapes successives de la croissance. Sa couleur provient de la superposition de la couleur naturelle du gypse souvent miel et celle du sable. Les cristaux abondants et petits « cimentent » le sable pour en faire une couche dure de grès à ciment gypseux.

Il existe des formes fossiles, vieilles de millions d’années dans le Sud de l’Espagne et d’autres roses des sables ont été recueillies au Portel dans l’Aube.

Le principal minéral concerné par ce processus est donc le gypse (minerai qui permet de fabriquer le plâtre) mais les roses des sables peuvent être aussi composées d’autres minéraux comme la barite (ou barytine, espèce minérale d’origine hydrothermale. Sa densité est le baryum qu’il contient qui est la cause principale de son utilisation industrielle. Plusieurs millions de tonnes sont extraits et produits chaque année).

Les roses de « pierre » peuvent atteindre parfois de grandes proportions et dépasser la centaine de kilogrammes et servent souvent de pièces ornementales.

J’AI FINI DE LIRE –

J’AI FINI DE LIRE –

 « La Massaï blanche » de Corinne Hofmann – née en 1960 en Thurgovie (Suisse)

Corinne tient une boutique de robes de mariée quand une inondation l’oblige à quitter son magasin pour quelques vacances. Elle part pour le Kenya ….  Là, elle rencontre un guerrier massaï, « Lketinga » dont elle tombe éperdument amoureuse ….

Histoire très touchante qui nous plonge dans un monde nouveau … l’Afrique et ses coutumes, la brousse, une expérience livrée avec sensibilité …

Pocket – (Plon 2 000) – n° 11321 – environ 400 pages

Corinne Hofmann et son Mari.

et « L’étrange histoire de Benjamin Button » de Francis Scott Fitzgerald – né en 1896 à Saint Paul (Minnesota), décédé en 1940 à Hollywood . Il est un des plus grands écrivains américains du XXème siècle.L

La famille Button occupait une situation enviable dans le Baltimore d’avant la guerre de Sécession. Un jour de septembre, comme tout futur père, nerveux, il attend avec impatience la naissance de son enfant. Tout le monde au bord de la panique semble le fuir … mais enfin qu’est-ce que cela veut dire ??

Histoire drôle en 60 pages, fantasque qui se lit bien ….

Collection Folio - Gallimard

 F. S. Fitzgerald

Suivi de « La lie du bonheur »  du même auteur en également une soixantaine de pages.

Monsieur et Madame Jeffrey Curtain ont fait un mariage d’amour. Ecrivain, il écrit des nouvelles près de sa femme, Roxane, ancienne actrice. Mais le destin au retournement abrupt va marquer leur vie …

Pages fortes … où l’amour est le « ciment » de ces quelques lignes.