jeudi 31 mai 2012

BONJOUR à TOUS …



BONJOUR à TOUS  …

Nous avançons à grands pas vers, pour certains, des vacances bien méritées ….

A cette occasion, je viens remercier mes visiteurs pour avoir eu la gentillesse de consulter le, mon blog qui me tient à coeur… quelques personnes en particulier qui se sont montrées … assidues et d’après ce que je sais … fort intéressées.

Un clin d’œil affectueux à … ma belle fille qui a toujours fait preuve d’une grande patience à mon égard au moment de placer mon travail et qui sans cesse a modifié textes, images, enfin mes recherches …  jusqu’à mon entière satisfaction !!!

Merci à mes enfants en général pour leurs idées, leurs critiques constructives, leurs envois, leur attention …

Durant les vacances de juillet et août, le blog ne fonctionnera pas …. juste la suite de « Rahan » dont les épisodes seront installés pour une écoute suivie ….     

A tous … je souhaite  un excellent repos, du soleil à profusion, mer, montagne, campagne bienfaitrices ….. et j’entends vous récupérer dans une grande forme à la rentrée … mais en attendant, je vous dis à …

                                                 BIENTOT et … !!!







                                            

              AUDE                                               

La FETE des MERES –



La FETE des MERES

(Je me souviens des colliers … de perles religieusement conservés dans un coffret, des   trésors faits par de petites mains, de doux poèmes, des pétales séchés, etc …). Je n’ai jamais eu de colliers de « nouilles » dont certaines se plaignent. Mais je peux dire que vu la grosseur des perles, mes enfants ont dû bigrement souffrir pour les enfiler !!!.... elles sont si petites que je n’aurais pas eu le cœur de m’en séparer !!!.

Passons un peu à l’historique de cette belle fête qui en même temps, 15 jours après, nous rappelle de ne pas oublier celle ou les « Pères » sont honorés. Donc à toutes et tous :

« TOUS MES SOUHAITS A PARTAGER »
« EN CES BELLES JOURNEES DE TENDRESSE »



Les 1ères traces de cette célébration sont présentes dans la Grèce antique (civilisation des peuples de langue et de culture grecque avant l’Antiquité) lors des cérémonies printanières en l’honneur de Rhéa (ou Cybèle, Grec ancien signifiant « gardienne des savoirs ». Ce culte est célébré aux Ides de Mars le 15 mars dans le calendrier romain, jour festif au Dieu Mars) dans toute l’Asie Mineure.



                                     Rhéa  et le Dieu Mars

Au XVème siècle, les Anglais fêtaient le « Mothering Sunday » d’abord au début du Carême (période de jeûne de 40 jours en référence aux 40 jours de jeûne effectués par Jésus Christ dans le désert), puis  le 4ème dimanche du Carême.

En 1908, les Etats-Unis développent la Fête des Mères moderne telle qu’on le fête de nos jours en instaurant le « Mother’s Day » en souvenir de la mère de l’institutrice Anna Jarvis (née le 1er mai 1964 à Webster, connue pour être à l’origine de la création du jour de cette fête).

Le Royaume Unis adopte à son tour cette fête en 1914 puis l’Allemagne en 1923 et ainsi d’autres pays vont suivre … la Belgique, le Danemark, l’Italie etc …

En France, le 10 juin 1906 à l’initiative de Prosper Roche, fondateur de l’Union Fraternelle des Pères de famille méritants d’Artas (Isère), une cérémonie en l’honneur de mères de familles nombreuses eut lieu. Deux mères de 9 enfants reçurent ce jour-là un prix de « Haut mérite maternel ». Ce diplôme est conservé dans la bibliothèque de l’Institut de France avec les archives de l’association.



En 1918, la ville de Lyon célèbre la « Journée des Mères » en hommage aux mères et épouses qui ont perdu leurs fils et leur mari pendant la 1ère Guerre Mondiale.

En 1920, est élaborée une fête des mères de « Familles nombreuses » puis le gouvernement officialise la « Journée des Mères » en 1929.  

En 1941, le régime de Vichy inscrit « la Fête des Mères » au calendrier dans le cadre de la politique nataliste (doctrine politico sociale favorable à l’accroissement de la population d’un territoire ou d’un état par la natalité et/ou … l’immigration).

Après guerre, la loi du 24 mai 1950 dispose que « la République française rend officiellement hommage chaque année aux mères françaises au cours d’une journée consacrée à la célébration de la fête des mère » organisée par le Ministre chargé de la Santé avec le concours de l’UNAF ( Union Nationale des Associations Familiales). La date est fixée au dernier dimanche de mai sauf si celle-ci coïncide avec celle de la Pentecôte. A ce moment, elle est repoussée au 1er dimanche de juin.

A cette occasion les enfants, également les adultes de tous âges honorent leur mère. 


CHATEAU de MONTRESOR – (Indre)



CHATEAU de MONTRESOR (Indre)



Il est l’un des plus beau château de la Loire meublé et qui n’a pas changé depuis 150 ans.

Le 1er seigneur connu de Montrésor est Roger le Petit Diable qui vivait au XVème Siècle. Il était contemporain du Comte d’Anjou, Foulques Nerra aux côtés duquel il se battit contre les Comtes de Blois, notamment Eudes. Il fit construire un 1er donjon défensif disparu aujourd’hui. Cette forteresse puissante joua un rôle important dans la lutte qui opposa le comte d’Anjou aux comtes de Blois pour la domination de la Touraine. Puis le château passa aux mains des « Plantagenêt », rois d’Angleterre. C’est Philippe Auguste qui reprit le plan en 1188.

Jean III de Bueil rebâtit le château une 1ère fois en 1375 …



puis en 1493, Imbert de Bastarnay, seigneur du Bouchage et de Bridoré (grand père de Diane de Poitiers) en devient le propriétaire pour 6  800 livres tournois (monnaie de compte française du 13ème siècle utilisée pour pouvoir convertir des sommes dans une même unité).



Il  fut le conseiller des rois Louis XI, Charles VII, Louis XII et François 1er et débuta la construction d’un logis neuf à l’intérieur de l’enceinte fortifiée. Cette vaste demeure devait abriter la cour, servir de cadre pour des fêtes somptueuses organisées avec l’aide de sa femme Georgette de Montchenu. Cette construction s’acheva en 1502. Plan rectangulaire dont la façade porte des échauguettes (guérites d’observation sur un lieu élevé) en encorbellement, une tourelle d’escalier polygonale. La façade méridionale vers la vallée domine le vieux bourg. Encadrée de 2 tours cylindriques couronnées de mâchicoulis (galerie saillante d’un château fort avec des ouvertures pour jeter des projectiles), elle est percée de 2 étages de fenêtres à meneaux (montants et traverses qui partagent l’ouverture d’une croisée) surmontées de lucarnes.

En même temps, est débutée en 1493 la construction d’une collégiale qui sera achevée par son petit fils René.

Dès le XVIIème siècle, Montrésor change de propriétaires plusieurs fois pour appartenir successivement à Charles de Lorraine, aux seigneurs de Boudeilles et à Philippe d’Orléans. Des travaux dans les années 1830 suppriment la chapelle et restaurent la partie Ouest du logis.

Du château féodal reconstruit par Jean de Bueil ne subsiste que l’enceinte, 2 tours décapitées et des vestiges de la porte d’entrée. Par contre les fortifications qui protégeaient la place sont encore impressionnantes et … 2 énormes tours  spectaculaires. On peut apercevoir encore une partie des créneaux et son chemin de ronde.



En 1848/1849, un polonais, le Comte Xavier Branicki (1815/1879), conseiller et ami du Prince Louis Bonaparte, futur Napoléon III, fit l’acquisition du château et de ses 2 000 ha de terres. Il restaura … entièrement et aménagea le parc dans un style au romantique et y regroupa de splendides collections dont :

  - les primitifs italiens de la collection du Cardinal Fesch (oncle de Napoléon 1er) qui retracent une partie de l’histoire de la Pologne et des portraits de famille peints par Madame Vigée-Lebrun.
  - une boiserie bas relief du XVIIème par Pierre Vanneau,
  - des pièces d’orfèvrerie de la vaisselle royale polonaise,
  - des trophées de chasse splendides,

Ce comte collectionnait des œuvres d’art se rapportant au roi cité au dessus, vainqueur de la bataille de Vienne du 11 septembre 1683, où il défie les Turques, brisa la puissance Ottomane et délivra la ville assiégée. Ce remarquable personnage était également cofondateur du Crédit Foncier de France et des Chemins de Fer Français en Algérie. Il fut pour cette commune un généreux mécène (maire de 1860 à 1870).

 Les descendants de Xavier Branicki habitent toujours sur place. Du château, la vue est imprenable. Le jardin à l’intérieur de la forteresse offre un charme médiéval. Les terrasses sont étagées sur 4 niveaux en passant par l’orangerie et le jardin d’hiver. Très intéressante, une collection de pivoines arborescentes y est cultivée. Ne pas oublier pour compléter la visite, la Collégiale Saint Jean-Baptiste, style gothique (1519/1541) où se trouve les gisants de la famille Bastarnay (Imbert, son épouse et son fils), ainsi qu’un tableau de Philippe de Champaigne. Des bords de l’Indre on peut voir les imposantes silhouettes du château et de la Collégiale ... qui se visitent une partie de l’année.                                                                                                                    







Michel Leeb... La ponctuation...




OBJETS, SCULPTURES …… des CREATIONS … en bouts de crayon


OBJETS, SCULPTURES …… des CREATIONS … en bouts de crayon 




















GENIAL !!!!!!!... conclusion …….  ne jamais jeter ses bouts de crayon ; vous pouvez vous aussi avec un peu « même » beaucoup de patience arriver à créer des « œuvres » uniques ….





MAIS encore mieux …. en principe, vous jetez les taillures et bien je vous invite à regarder ce que certains en font !!!.... surtout en sachant combien ces petites dentelles sont fragiles …















COLLEY … en pleine action …



COLLEY … en pleine action … 



Le GRAND BETISIER …… de la pharmacie...


Le GRAND BETISIER …… de la




- « J’ai un ongle de pied  … «incarcéré »



La pharmacienne :

  - « A quelle caisse êtes-vous affiliée madame ?

La cliente :

  - « A la Caisse d’Epargne » !!!. 



- Mon cardiologue va me poser un … « pince main cœur » !!!

.

- On m’a fait passer un .... « ULM » !!!. 



- A l’hôpital, ils m’ont fait passer un … « ketchup complet » !!!.



- Si, si, je vous jure, mon médecin m’a parlé de … « douleurs interpostales » !!!.



Et j’en passe ….. de très bonnes … je ne peux toutes les mettre et de vulgaires que je ne saurais … diffuser !!!.  

La GARE de LYON -



La GARE de LYON -  


                                                               Gare de lyon en 1880

La gare de Lyon dans le 12 ème arrondissement de Paris est l’une des 7 gares terminus du réseau SNCF à Paris. Elle fut construite suivant les plans de l’architecte François Xavier Cendrier et mise en service le 12 août 1849. Son 1er nom a été « Embarcadère de chemin de fer de Paris à Montereau » qui fut d’abord construit de planches.

Son hall de 2,20 m de longueur sur 42 m de largeur abritait à cette époque 2 voies (1 pour l’arrivée et l’autre pour le départ) qui ont été édifiées sur un remblai de + de 7 m de haut pour éviter les crues de la Seine. Avec l’accroissement du trafic, elle fut construite sur le même plan Cendrier en 1855 et comporte 5 voies.

La 1ère ligne a été celle de Paris-Tonnerre puis elle fut prolongée jusqu’à Lyon. Reconstruite en 1899, sur les plans de Denis, elle passa à une douzaine de voies. C’est de cette époque que date son campanile de + de 60 m de hauteur avec son horloge à 4 cadrans de + de 6 m de diamètre. La grande aiguille mesurait + de 3 m et la petite + de 2 m (les sources sont très différentes donc je reste approximative). Arrêtée suite à la tempête de 1999, elle remarchera en 2005 avec le même mécanisme d’origine … mais modernisé.         



La gare a été encore agrandie en 1927 puis, actuellement, suite à la mise en service du TGV. C’est une gare à la fois de grandes lignes (d’un grand quart Centre Est/Sud Est de la France – Dijon, Lyon, Grenoble, Marseille etc …) et une gare internationale (liaison avec Genève, Lausanne, Bâle, Zurich etc …) et une gare de réseau Transilien (Pais-Montereau via Héricy, via Moret et Fontainebleau et Paris Montargis)


Elle est la tête de ligne des TGV (train à grande vitesse) Sud Est, Rhône Alpes et Méditerranée. C’est la 3ème gare de Paris pour son trafic (+ de 80 millions de voyageurs/an). La 1ère en terme de transit de grandes lignes. Elle offre aux voyageurs des correspondances avec 2 lignes de RER A (inaugurée en 1977) et D, 2 lignes de métro (1 et 14). 

L’entrée principale sur la place Louis-Armand donne sur la rue de Lyon qui conduit vers la Bastille et le Boulevard Diderot.

En 1981, 5 nouvelles voies pour le TGV impliquent des installations spéciales.

L’ensemble des façades et toitures du bâtiment principal ainsi que la salle des fresques fait l’objet d’une inscription au livre des Monuments Historiques. A noter que le plafond du buffet de la gare « le Train Bleu » a été peint par François Flameng. Le buffet est le meilleur restaurant d’une grande gare. Au 1er étage, par le grand escalier, se trouve le restaurant mythique style Second Empire. Initialement, le buffet de la gare fut construit pour l’Exposition Universelle de 1900 à Paris.





En 1988, un grave accident dans la gare souterraine de banlieue fait + de 50 morts et de nombreux blessés (collision frontale entre un train de Melun via Corbeil Essonnes et un train à l’arrêt en partance pour Melun via Combs-la-Ville … bondé).

Les derniers travaux qui portaient le nom de « Meteor » amène la ligne 14 du métro à une conduite automatique sous la rue de Berry au pied de la RATP (Régie Autonome des Transports Parisiens – Etablissement public à caractère industriel et commercial). Cette ligne ouverte en 1998 permet aujourd’hui un transit rapide et confortable entre gare de Lyon et la gare Saint Lazare (8ème arrondissement).

Depuis 2010, de nouveaux travaux sont en cours de réalisation. Un agrandissement qui vise à dégager les espaces afin de mieux accueillir les + de 90 millions de passagers annuels et faire face à une augmentation de voyageurs d’ici 2020. La SNCF prévoit 30%  de + de passagers suite à la mise en service fin 2011 de la LGV (ligne à grande vitesse Rhin/Rhône).

La création d’une Grande Verrière de + de 4 400 m2 est prévue afin d’abriter commerces et services et accueillir un plus grand nombre de personnes dans cet espace.



Depuis le 11 décembre 2011, tous les TGV Lyria  (entreprise ferroviaire qui gère les liaisons TGV entre France et Suisse) partent de la gare de Lyon et non de la Gare de l’Est.

APRES toutes ces recherches sur internet où j’ai vu défiler les trains !!! … j’ai comme une envie … pas vous ? de faire un p’tit voyage sympa. mais en …



                                                                                        … pour ne plus voir de …. RAIL !!!!!                  
 

       

samedi 5 mai 2012

Rahan numéro 5 !!!


Le muguet...


Le MUGUET …… la fleur du printemps



C’est une plante herbacée des régions tempérées dont les fleurs petites, en forme de clochettes sont très odorantes. C’est aussi une plante toxique.
Le  muguet se trouve en forêt où sa présence est naturelle plus petit et tout aussi parfumé.

Selon sa classification classique, il fait partie de la famille des Liliaceae.

Selon sa classification phylogénétique, il fait partie des Ruscaceae (plantes monocotylédones – végétaux dont la plantule ne présente qu’un seul cotylédon sur l’embryon qui en évoluant donne une préfeuille ou des Asparagaceae.

C’est une plante vivace qui se multiplie grâce à son rhizome traçant appelé « griffe ». Chaque brin ou hampe est entouré de 2 feuilles. Les fleurs sont disposées du même coté de la hampe. En automne, le muguet donne des fruits sous forme de baies rouges. Il est glabre (sans poil) et on le trouve en sol calcaire non seulement dans les bois mais aussi dans les pâturages de montagne (jusqu’à 2 000m), dans les jardins humides et ombragés. Le muguet cultivé, repiqué en pleine terre dans nos massifs pousse très bien.

On le trouve presque partout en France (à l’exception des régions méditerranéennes), à travers tout l’hémisphère Nord dans les régions tempérées fraîches en Asie, en Europe et Amérique du Nord.

La floraison a lieu entre avril et juillet. L’idéal veut qu’il fleurisse pour le 1er mai. Selon l’année, il est difficile de cueillir quelques brins, ou bien il est déjà fané à cette date.

De cette gaine (partie proximale d’une feuille qui embrasse la tige d’une plante), 2 feuilles en pointe parfois plus arrondies (forme elliptique) se dressent une feuille inférieure et une feuille supérieure presque opposée et légèrement enveloppée par l’autre.

Elles sont pétiolées (reliant le limbe à la tige) mais paraissent sessiles (lorsqu’une feuille, une fleur ou un fruit sont directement attachés à la tige sans pétiole ou pédoncule).

Le limbe est vert foncé, mat. Sa forme varie entre le lancéolé (en forme de fer de lance) et l’ovale.

Les feuilles ont de nombreuses nervures qui convergent aux 2 extrémités. Chaque feuille peut mesurer de 10 à 20 cm de long.

On peut trouver une grappe de 20 fleurs dont une dizaine est seulement épanouie.

Chaque fleur est portée par un pédicelle (petit axe ou petite tige). Le périanthe (ensemble des enveloppes qui assure la protection des organes reproducteurs de la fleur – étamines et pistil) a la forme d’une clochette de 6 à 7 mm en moyenne. Les fleurs inférieures ont un pédicelle plus grand que celui des fleurs terminales. Il est accompagné d’une bractée  membraneuse (pièce florale en forme de feuille faisant partie de l’inflorescence) à peu près moitié moins longue. La tige a tendance à pencher plus ou moins fortement).

Sa couleur est blanche mais peut-être aussi rosée. La clochette est issue de la soudure des 6 tépales pétaloïdes (lorsque l’on ne peut pas dire s’il s’agit de pétale ou sépale ayant la même apparence) sur la moitié de leur longueur. Sur l’autre moitié, chaque demi tépale est libre et forme une languette triangulaire recourbée vers l’extérieur.

Chaque fleur contient 6 étamines et un style (partie allongée du pistil reliant l’ovaire et le stigmate). Le muguet est hermaphrodite (des 2 sexes).

Le fruit se forme de juillet à octobre et contient de 2 à 6 graines. Ne pas oublier que le muguet est une plante classée à haute toxicité. L’ingérer, donne des nausées, diarrhées etc …



Le muguet est utilisé en parfumerie, même s’il est rarement pris sous sa forme naturelle. Dès le XVIème s., il était un parfum apprécié notamment des hommes. Aujourd’hui, ce sont les femmes qui l’utilisent mais synthétiquement, le terpinol étant un excellent succédané.

Le muguet en soliflore a fait la célébrité du parfum Diorissimo par Edmond Roudnitska en 1956.



Sa présence en bouquet dans une pièce fermée est malsaine. Son odeur forte provoque des maux de tête parfois graves. L’eau où il trempe est rapidement toxique.

Les noces de muguet symbolisent 13 années de mariage …

Le muguet du 1er mai est un porte-bonheur. Cette tradition est encore très présente. Pour certains, seuls les brins ayant spontanément 13 fleurs portent vraiment ……. « bonheur »

Depuis 1962, le muguet est la fleur nationale de la Finlande.

Ce n’est qu’au début du XXème s. qu’il sera associé à la Fête du Travail (férié de nos jours) qui date de 1889. Sous Pétain, la fête des travailleurs devient la fête du travail et l’églantine rouge, associée à la gauche, remplacée par le muguet.

Le muguet se vend dans les rues … de Nantes peu après 1932 avec l’instauration de la Fête du lait de mai par Edmond Delrue (les habitants de la région de Nantes allaient boire du lait frais le 1er mai dans les fermes avoisinantes) … et se généralise en France en 1936 avec l’avènement des congés payés.

Le nom latin de la plante (convallaria majalis) convallaires de mai indique qu’elle pousse en mai dans les vallées. On l’appelle d’ailleurs « lys des Vallées ». En anglais, « Lily of the Valley ». Quant à son nom français, comme dans le texte depuis 1200 … sous la forme « mugue » ou « musguet », c’est un dérivé de musc, sans doute une altération de « muscade » en raison de son parfum …

Le muguet est appelé aussi … muguet des bois, grelot, larmes de Sainte Marie, Gazon de Parnasse (la légende veut qu’Apollon ait tapissé le Mont Parnasse de muguet pour que les muses ne se blessent pas),  etc …


      

Max Christian Friedrich BRUCH









Max Christian Friedrich BRUCH, compositeur, chef d’orchestre allemand né à Cologne le 6 janvier 1838, mort à Berlin le 2 octobre 1920.  

Quelques HYBRIDES …. le résultat de croisements en images


Quelques HYBRIDES …. le résultat de croisements en images – voici donc :

Le « ligre » ou ligron (1)



Croisement entre un lion et une tigresse, le plus grand de tous les …. chats !!!! … connus et des félins existants. Il peut atteindre + de 3,50 m de long et peser + de 400 kilogs ….

Le « léopon »  ou lipard ou liard (2)



Croisement entre un léopard et une lionne …. Il mesure environ 1,30 m à + de 2 m pour 90 à + de 150 kilogs

« L’ocicat » (3) 



Il est originaire des USA. Sa fourrure rappelle celle de l’ocelot. C’est un croisement entre un Abyssin-siamois et siamois chocolat. C’est un chat de taille moyenne.

Le « zibule » (4)



Croisement entre un zèbre et une jument … il restera toujours sauvage et peu sûr étant donné le sang qui coule en lui !!. Les gènes de son père s’expriment + ou - fortement.

Le « jaglion » (5)



Croisement entre un jaguar et une lionne.

Le « chien-loup » (6)



Croisement entre un chien et un loup. Là, je crois que je ne vous apprends rien !!!. Ils proviennent du même groupe (canis lupus familiaris). Vivre avec cette race demande de l’expérience. Le cri est le choulement (long hurlement). 2 races sont reconnues par la Fédération Cynologique Internationale : le chien-loup Tchécoslovaque et le chien-loup de Saarloos, du nom de son créateur.     




Voulez-vous participer à un jeu …. celui des ECHECS … et MAT …… en ligne ?



Voulez-vous participer à un jeu …. celui des ECHECS … et MAT …… en ligne ?




Pour ceux qui ne savent pas y jouer, apprenez et exercez-vous en consultant les règles du jeu
expliquées  … et pour les plus coriaces … une confrontation avec les damiers adverses … est obligatoire !!!.

Amusez-vous  …..



Règles du jeu :




Vous souvenez-vous de ….. l’OCARINA ???



Vous souvenez-vous de ….. l’OCARINA ???



C’est un instrument de musique à vent de forme ovale, ressemblant à une oie, d’où son nom oca en latin « oie » et ocarina « petite oie ».

Il est un instrument traditionnel d’Afrique. Il peut être en terre cuite (Amérique), en porcelaine (Chine) en bois etc … Son usage remonte aux alentours de 1860 lorsque Giuseppe Donati transforma ce « jouet » en un instrument de musique classique à 10 et 12 trous. A Rome, ce boulanger a adoré le son et en fabriqua un en terre cuite dans ses fourneaux pour ne pas gaspiller le reste de cendres chaudes. Il créa donc l’ocarina à 10 trous.



L’ocarina s’est implanté dans de nombreuses cultures il y a 12 000 ans, en particulier en Chine. Il avait alors 6 trous. Ensuite, il s’est étendu chez les Incas et les Mayas. Dans l’actuel Pérou, il a pris cette forme d’œuf et possédait 8 trous. Oublié, l’ocarina au XVIIème … John Taylor repris ce modèle au XXème qui est de nos jours, joué par les enfants et porte 4 trous dessus et 2 dessous et permet de jouer la gamme chromatique + 1 ton.

En 1527, une troupe de musiciens danseurs a été amenée à jouer devant le roi Charles Quint qui le trouva fabuleux.

Il existe un double ocarina inventé par les italiens, le triple inventé par les japonais, le quadruple inventé par les chinois entre 2007 et 2009. De nouveaux modèles naissent.

L’ocarina est classé dans la famille des flûtes globulaires à conduit car le jeu se fait en soufflant dans une embouchure de flûte et non en soufflant sur un trou ouvert. Son corps est muni de trous permettant de produire des sons de différentes tonalités. Le nombre de trous varie selon les modèles.

 « song of ocarina » 

 « El condor pasa – Peru »